Pourquoi je ne me sens pas — ou plus — à ma place ?
Le ras-le-bol silencieux de beaucoup
Ou au contraire, pourquoi certains se sentent parfaitement à leur place alors que le monde part en vrille ?
On vit une époque où, soyons honnêtes, on marche sur la tête.
Des décisions tombent, encore et encore, qui nous privent peu à peu de liberté, d’égalité et de fraternité… des mots que certains aiment répéter mais qui ne veulent plus dire grand-chose aujourd’hui.
Les valeurs de respect, d’éthique, d’honnêteté…
Disparues, ou presque.
Elles ont laissé la place au mensonge, à la trahison, à la manipulation, et à la petite dictature de ceux qui pensent décider pour tout le monde.
Et non, je ne parle pas de politique.
Parler pour ne rien dire, c’est leur spécialité.
Ils manient la langue de bois comme personne, ils virent de bord dès que le vent tourne.
Alors vous allez me dire :
« Mais Lionel, quel rapport avec la voyance, le développement personnel ou le bien-être ? »
Justement : tout.
Parce que tout ce chaos extérieur, créé par l’homme, va à l’encontre de ce que nous sommes profondément.
À l’encontre de ce que nous cherchons tous.
On vit dans une ère du “chacun pour soi”.
Ça arrange bien certains : diviser pour mieux régner, c’est la méthode vieille comme le monde.
Pourquoi une intro aussi brutale ?
Parce que de plus en plus de personnes qui me consultent ne se sentent plus à leur place.
Certaines ne supportent même plus ce monde au point de vouloir le quitter prématurément…
Épuisées moralement, lessivées d’affronter ce marasme de haine, de mal-être, et de négativité qui nous entoure.
Moi aussi, j’observe.
Et très souvent, je me dis :
“Oui, on marche vraiment sur la tête.”
Mais après un vécu atypique, cabossé, riche en expériences…
Je me rends compte que finalement, je suis bien à ma place.
À aider, à guider, à éclairer celles et ceux qui ne voient plus clair.
À montrer qu’il existe un autre regard, une autre voie, un autre angle.
À aider chacun à retrouver un chemin de vie plus lumineux, plus conscient, plus aligné.
Je ne juge pas.
Je constate.
Et je fais de mon mieux pour remettre un peu de lumière dans ce monde en manque d’âme.
Quand le monde s’effondre,
beaucoup ne se sentent plus à leur place
Les valeurs qui disparaissent
De plus en plus de personnes qui me consultent me disent qu’elles ne se reconnaissent plus dans ce monde.
Certaines vont même jusqu’à vouloir tout quitter…
Épuisées, lessivées, noyées dans la négativité.
Moi aussi, j’observe.
Et souvent je me dis :
“Oui, on marche vraiment sur la tête.”
Mais malgré ce vécu atypique, cabossé…
Je sais aujourd’hui que je suis à ma place : guider, éclairer, aider ceux qui n’arrivent plus à voir la lumière.
Rien n’arrive par hasard — il y a toujours une raison
Ce chaos extérieur qui atteint l’intérieur
Après avoir constaté que rien n’arrive par hasard, et qu’il y a toujours une raison derrière chaque événement — une finalité, un message à comprendre — il reste malgré tout des questions en suspens.
Pourquoi cela continue-t-il ?
Pourquoi cette impression que tout s’aggrave ?
Marchons-nous vraiment vers le chaos annoncé depuis des siècles par les Mayas, Nostradamus et bien d’autres encore ?
Sommes-nous en train de créer un deuxième Big Bang, mais cette fois… provoqué par l’homme lui-même ?
Très peu de personnes se soucient encore de notre univers nourricier, de cette Terre qui nous porte.
On préfère un monde de plastique, de façades, de masques sociaux, de faux-semblants, plutôt que de préserver ce qui nous fait vivre.
Même l’animal que nous détruisons est plus respectueux de sa maison : la nature.
Le bas instinct, l’instinct primaire, on le retrouve aujourd’hui bien plus chez l’humain que chez l’animal.
Heureusement pas chez tout le monde…
Parce que si l’humanité entière fonctionnait ainsi, il y a longtemps que nous ne serions plus là.
Garder espoir — parce que la lumière existe encore
Ceux qui donnent encore : les héros du quotidien
Gardons l’espoir.
Gardons la foi en l’amour, la foi en soi.
Parce que, malgré tout, beaucoup d’hommes et de femmes prennent encore soin de nous.
Je pense aux médecins, aux aides-soignantes, aux pompiers, aux gendarmes…
Oui, ceux qui doivent aller chercher un abruti qui fait du hors-piste alors que c’est fortement déconseillé — et qui y vont quand même, sans poser de question.
Je pense aussi aux aides à domicile, au personnel des EHPAD, à nos éboueurs (à qui beaucoup ne facilitent pas la tâche), aux élus locaux — les vrais, ceux qui protègent leurs administrés.
Pas ceux qui se voient déjà “premier sinistre”, comme disait Coluche…
Je pense à ceux qui assurent notre sécurité, de jour comme de nuit.
À l’inconnu qui tend la main à une personne en difficulté sans rien attendre en retour.
Aux refuges pour animaux, aux foyers pour enfants et femmes victimes de violences.
Oui, je tire mon chapeau à tous ces hommes et ces femmes qui prennent soin des autres.
Qui donnent d’eux-mêmes, au-delà d’un simple travail.
Alors oui : l’espoir est toujours là.
Parce que grâce à eux, grâce à ces lumières du quotidien, ce monde tient encore debout.
Ma place à moi : guider, éclairer, réveiller
Un mal pour un bien : le sens des épreuves
Et moi, dans tout ça, où est ma place ?
Je suis d’un naturel trop gentil, c’est vrai.
J’ai souvent aidé des personnes financièrement, à la hauteur de mes moyens.
Et j’ai donné de l’énergie, encore et encore, à toutes celles et ceux qui me consultent.
Ma place, elle est là :
faire comprendre que parfois, un mal est un bien déguisé.
Et que la complaisance, ça n’aide personne.
Il y a deux options dans la vie :
accepter son “sort” comme on dit (quel vilain mot…),
ou réagir et se relever.
Voilà ma place :
ne pas laisser les gens s’apitoyer, ne pas les laisser rester les bras ballants à pleurnicher.
Leur rappeler que leur vie ne s’arrête pas à une personne, à un travail, à une rupture ou à une déception.
Il faut accepter de se remettre en question.
C’est ça, le vrai développement personnel.
Et certainement pas s’acheter le dernier modèle de voiture de luxe pour se donner l’illusion d’exister…
Ça, pour moi, c’est l’exact opposé du développement personnel.
Votre place existe déjà — vous ne l’avez juste pas encore vue
Aider sans attendre, guider sans juger
Alors je sais qu’une grande partie d’entre vous est bien à sa place.
Peut-être pas encore dévoilée, peut-être pas encore comprise…
Mais cette petite voix en vous, elle existe.
Elle vous dirige, elle vous parle, elle vous chuchote le bon chemin.
Seulement voilà :
quand on refuse cette voix intérieure, quand on s’obstine à suivre un chemin qui n’est pas le nôtre,
eh bien… on revient toujours au point de départ.
Chaque être humain a son propre chemin à accomplir.
Et parfois, ce chemin rejoint celui d’une autre personne pour avancer à deux.
Bien souvent même.
Et lors de mes consultations, je vois tellement de couples qui se séparent…
Non pas par manque d’amour — loin de là —
mais parce qu’ils ne comprennent pas la vision, la mission qu’ils avaient à accomplir ensemble.
Ils s’aiment, mais ne voient pas pourquoi la vie les a réunis.
Ils vivent côte à côte, mais ignorent ce qu’ils devaient apprendre l’un de l’autre.
Et quand la mission n’est pas comprise… l’un avance, l’autre reste figé, et la fracture se crée.
a peur, le manque, et ces attachements qui détruisent
Les signes que l’on découvre trop tard
Alors je ressens très bien, chez certaines personnes, cette peur profonde.
Le manque de sécurité, le manque de présence, le manque d’amour vrai…
Et à cause de tout ça, beaucoup s’accrochent.
Ils s’accrochent même quand ça leur fait du mal,
même quand ils savent au fond d’eux qu’ils sont malheureux.
Et je le vois chaque jour :
il y a énormément de personnes qui vivent dans l’ombre de leur propre vie,
qui se mettent de côté, qui s’oublient, qui ne se permettent plus d’espérer.
Mais ce que vous ne voyez pas encore… moi, je le vois.
Je sais que pour beaucoup d’entre vous, la lumière viendra.
Même si aujourd’hui vous pensez être dans le noir complet,
même si vous avez l’impression d’être perdus,
il suffit parfois d’un déclic, d’une prise de conscience,
pour que tout change.
Certaines âmes prennent plus de temps que d’autres à se révéler.
Certaines doivent tomber très bas avant de remonter très haut.
Mais la lumière, un jour, finit toujours par revenir.
Quand la vie vous secoue, ce n’est jamais pour rien
L’âme apprend : dans cette vie… ou dans une autre
Pour retrouver sa place, bien souvent, la vie nous bouscule.
Et parfois même très fort.
Elle envoie des signes, des heures miroirs, des messages qu’on ne comprend qu’après le clash, qu’après l’effondrement.
Parce que l’être humain, tant qu’il peut éviter de regarder la vérité… il l’évite.
Garder la foi, c’est difficile quand on n’a plus confiance en soi.
Quand on vous a rabaissé, diminué, isolé.
Quand on vous a fait peur.
Quand on ne s’aime plus, qu’on n’a plus envie de vivre, plus envie de se lever.
Quand on ne rit plus, qu’on ne sort plus, qu’on s’enferme dans soi-même, dans un bain de malheur et de négatif.
Et pourtant…
Dans ces moments-là, on ne voit plus que parfois un sourire, une main tendue peut tout changer.
On n’est jamais aussi seuls qu’on le croit.
Et c’est là que moi, je trouve ma place.
Comme des centaines d’autres personnes qui donnent, qui aident, qui guident…
Je vous tends la main.
Pas pour enrichir mon confort matériel, ni mon compte en banque.
Je m’en moque.
Ce qui compte, c’est la satisfaction de la mission accomplie.
C’est de voir quelqu’un se relever, trouver sa direction, retrouver sa valeur.
Beaucoup de mes avis parlent de ma non-complaisance et de ma bienveillance.
C’est vrai : je ne regarde pas ma montre.
Je ne regarde pas l’humeur de certains, ni leur regard critique ou mesquin.
La bêtise et la méchanceté gratuite, ça n’a jamais fait avancer personne.
Je le dis souvent :
“Avant de juger les autres, juge-toi toi-même.”
Et pour ceux qui n’y croient pas…
La vie se charge toujours de les ramener à leur propre vérité.
Certains l’apprennent dans cette vie, d’autres… sur la prochaine.
Parce que oui : il y a un bout de chemin, parfois plus long, parfois en plusieurs vies — appelez ça comme vous voulez — mais tout finit toujours par revenir vers la lumière.
La générosité n’attend pas la catastrophe
S’éveiller avant qu’il ne soit trop tard
Alors non, je ne vous demande pas de m’appeler.
Ce n’est pas une pub, ni un appel commercial.
C’est simplement un appel à l’éveil, à votre conscience intérieure.
On voit souvent la générosité se déployer après une catastrophe.
Après un drame, après un choc, après que tout ait explosé.
Mais la vérité, c’est que chaque jour, chacun d’entre nous peut donner un peu de lumière, un peu d’espoir, à quelqu’un.
Pas besoin de grands gestes.
Parfois, un simple sourire suffit.
Un regard, un mot, une main tendue.
C’est ça, la lumière du quotidien.
La lumière se rallume toujours
Arrêtez de croire que votre vie dépend des autres.
Votre place, c’est vous qui la créez.
Un pas, un choix, une décision…
Et la lumière se rallume.
Toujours.
✍️ Article rédigé par Lionel Girardon
Voyant médium pur reconnu en France, membre de l’INAD et praticien certifié Resalib.
À lire aussi — Articles récents
- Vivre et mourir en conscience
- Interprétation des rêves
- Une vie avant la vie
- Mes dons (partie 2) — Aux frontières de l’invisible
- Expériences de mort imminente — Aux frontières du visible
- Malchance : et si le “sort” n’était qu’un signe du destin ?
- Halloween, Toussaint et Fête des morts
- Les miracles de tous les jours
Ajouter un commentaire
Commentaires