Voyance pure à distance et magie
Voyance pure et magie
par Lionel,
voyant médium pur
voyance et magie noire, magie rose et magie blanche
Les liens entre sorcellerie et voyance
De nombreux points sont communs entre la sorcellerie et la voyance.
Avant tout, ces deux pratiques sont basées sur la forte croyance de l’existence de forces invisibles. La sorcellerie cherche à contrôler ces forces invisibles, alors que la voyance cherche à les appréhender.
Il existe de nombreux liens entre sorcellerie et voyance. Une sorcière ou un sorcier peut utiliser la voyance pour prédire le moment propice à un rituel. Une voyante peut utiliser la sorcellerie pour protéger son client d’un mauvais sort.
Dans la tradition wicca, la sorcellerie et la voyance sont considérées comme deux aspects d’une même pratique. La sorcellerie est considérée comme la pratique de la magie, tandis que la voyance est considérée comme la pratique de l’intuition.
Dans toutes les cultures, depuis la nuit des temps, des rituels magiques se pratiquent.
Ils servent les hommes pour en tirer des profits bénéfiques ou maléfiques selon les rites.
La magie est née d’un ensemble de différents rituels qui, au fil des siècles, s'est perfectionnée :
la magie blanche, protection, bien-être, voire guérison, des rituels positifs.
La magie noire qui se diffuse par ondes ou pensées négatives telles que la méchanceté, l'envie, la jalousie, la haine rituelle du bas astral facile à faire pour des personnes négatives avec une âme en perdition.
La magie rose, rituel de magie sexuelle,
Déjà dans l’Antiquité et jusqu’à nos jours. L'homme a reposé son existence sur des entités pour les cas de possession, des croyances multiples, l'accès aux mondes invisibles au plus bas du monde astral ; les sorciers, vaudous, chamans, médiums purs font appel à ces arts mystiques pour acquérir puissance et richesse.
La sorcellerie permet ainsi de jeter des sorts, mais aussi de faire appel à des esprits d'envoutement.
Des rites avec sacrifice pour vénérer des divinités ou pour obtenir leurs bénédictions, selon les cultures et les rites. en Afrique, sacrifice d'un bouc blanc lors de l'incinération d'un défunt pour lui souhaiter bon voyage.
La magie La voyance au fil des siècles
En 515 avant J.C. sur des inscriptions perses, que l'on a constaté que la magie a commencé.
Selon certains mages, druides, sorciers, voyants et médiums, la magie aurait des origines divines et même qu’elle existait avant l’humanité.
La magie serait même pour certains le fondement de notre univers. Autrefois, la magie était considérée comme naturelle, encore de nos jours, car on utilise bien souvent les quatre éléments afin de pratiquer les rituels appropriés, et il est tout à fait normal
d'avoir recours à mère nature ainsi qu'aux forces des astres, de l'astrologie.
C'est au fil des siècles par la puissance que pouvait dégager la magie, qui était crainte et considérée comme maléfique.
Les royaumes et les Églises qui eux-mêmes utilisaient ces arts divinatoires ont renversé cette pratique,jugée incontrôlable et apportant plus de misères que de bien-être.
La magie est utilisée soit pour faire le bien, soit pour faire le mal (magie noire ou blanche). magie rose à voir dans l'article de Lionel, voyant médium magnétiseur.
L'ampleur de la magie noire et des nombreux actes malveillants perpétrés au nom de la magie, de la voyance et de la croyance faisait que ces pratiques commençaient à être réprimées.
Le Moyen Âge avec le contrôle de l’Église qui a favorisé le déclin de la magie, qui a alors considéré ces pratiques, magie, voyance, astrologie, comme maléfique. Les pratiques magiques furent réduites et contrôlées par l’Église. On garda et ne tolérera que certaines pratiques.
Les mages, sorciers, la voyance, et l’église au Moyen Âge
La magie ou le mage, sorcier, voyant, médium, druide
est considéré comme un relais entre l’Homme et les esprits ou divinités, ainsi que les mondes invisibles.
Craints et respectés, ces mages, sorciers, voyants ont pris une tout autre place au fil des années. La magie prend alors divers statuts.
À une période du Moyen Âge, la magie est acceptée par l’Église pour ses bienfaits positifs, elle fut même plus ou moins insérée à certains rites chrétiens.
On retrouve aussi l’utilisation d’amulettes, de divers pentacles, d’incantations ou de signes. Mélangées à cet ensemble de rites, les prières furent considérées comme de la magie christianisée.
Consacrés par l’église, les grands mages, on les appelle alors des prêtres. L’Église n'accepte pas certains rites et donc les interdits, comme l’appel à des esprits du bas astral dans un intérêt personnel ou malveillant. Ces rites pratiqués au nom de la religion pousseront le christianisme à s’écarter de ses mages. voyants, astrologues et autres.
La magie, la voyance durant la renaissance
Cette période de l'histoire, plus cartésienne, voit le développement de l’alchimie, de la chimie ainsi que des théories philosophiques.
Les rituels ancestraux ont perdu leur prestige et sont délaissés pour des pratiques plus scientifiques. Chaque phénomène qui de près ou de loin a rapport à l'ésotérisme, à la magie, à la voyance, etc., doit avoir une explication rationnelle, et tout ce qui dépasse la raison et l'entendement devient alors contraire aux mœurs de l’époque.
Durant cette période, la magie a contribué au développement et à l'extension de ses nouveaux savoirs, ce qui a permis d’interagir avec deux mondes distincts.
Ainsi sont apparus des savants philosophes qui exercent la magie et pourtant bien chrétiens. Leur but était de pouvoir poser la domination de l’homme sur ce monde, appuyés par les rois d'antan. Il n’était pas rare que les mages étaient considérés comme des dieux, car il réunissait cet ensemble de connaissances.
Le déclin de la magie par la magie noire
On donna à la magie la responsabilité des grands fléaux et autres durant plusieurs années. Il existe pourtant une distinction entre la magie blanche et la magie noire. Elles englobent plusieurs pratiques, mais sont divisées en deux catégories. Selon l’intention et les rites utilisés, elle peut être de bonne ou de mauvais augure.
Les esprits invoqués sont multiples, donc selon le type de magie réalisé. La magie blanche a pour but de faire le bien autour de soi, avec la guérison, l’exorcisme, ou le fait d’attirer la chance, la prospérité sur quelqu’un. La magie noire, qui reste beaucoup plus négative, consiste à invoquer les esprits pour faire du mal, à jeter des sorts, à tuer à distance ou à rendre malade une personne ; on l’associe à la sorcellerie et au satanisme.
La magie naturelle et rituelle
À l'origine spirituelle, la magie est issue des dieux, on l’appelle aussi magie rituelle. La maîtrise de cet art n’est donc pas une science, mais un apprentissage qui, grâce à un lien qui unit le mage et l’esprit, invoque des êtres avec des rites spéciaux. On parle de dons, dans les livres antiques, et non de connaissance pour ce type de magie.
La magie peut être aussi naturellement considérée comme une science ordinaire et ses pratiquants, des savants et non des mages. La magie naturelle, contrairement à la magie rituelle, est donc créée et développée par l’homme, elle n’est pas innée et peut se transmettre de génération en génération.
Conclusion
La sorcellerie et la voyance sont deux pratiques ésotériques qui sont souvent associées l’une à l’autre. Elles sont basées sur la croyance en l’existence de forces invisibles et utilisent des techniques similaires.
Je reste à votre disposition pour plus d'informations.
Bien à vous, Lionel, voyant médium pur.
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